Donc :
Merci à Eux !
Le Nelson Mandela Choir n’a pas manqué de justifier les espoirs que les spectateurs et les organisateurs que nous étions mettaient en eux !
Après une prise en charge des 20 choristes sud-africains par nos propres soins et avant même un rafraîchissement qui aurait été bienvenu, les choristes se retrouvaient déjà pour « tester notre église ». Ensuite, premier pur moment de plaisir en leur compagnie : la répétition d’un chant commun et l’apprentissage d’une de leur mélodie, et celui des pas de danses indissociables….
Après un repas partagé tous ensemble, le concert…
Un petit mot de notre propre prestation en première partie : bonne sensation pour nous et si on en juge par l’applaudimètre, très bonne réception du public aussi. Superbe souvenir.
Les mots glissés dans le programme s'avéraient être la réalité : "Enthousiasme, jeunesse et grande humanité pour ce chœur mixte dégageant un véritable optimisme dansant sur le chemin de l’émotion..."
…Et, cerise sur le gâteau pour nous les Copains d’Alors : nous les rejoignons dans le final pour un « Chant des partisans » profond, humain, chaleureux.
D’être venu si nombreux, si attentif, si enthousiaste. Si notre concert méritait le titre d’exceptionnel c’est aussi grâce à vous. Et nos excuses de ne pas avoir pensé à retourner quelques appareils photos pour garder la trace de cette assemblée incontestablement ravie.
Donc merci aux copains des copains, à la famille des copains, aux amis des copains, aux Morassiens et à tous les inconnus qui s’étaient déplacés.
Et puis pour finir :
Merci à Nous !!!
…d’avoir su prendre la balle au bond et d’avoir mis sur pied cette soirée en moins de 15 jours.
Alors :
Merci à Bernard notre traducteur et intermédiaire d’un jour
Merci aux chauffeurs d’un jour, aux pâtissières et cuisinières de toujours
Merci aux Christines et aux Jeannines, les gestionnaires
Merci aux manutentionnaires de tous poils
Et Merci à Véro, pour tout son apport qu’on ne détaillera pas ici, ce serait trop long.
En conclusion : Merci à tous pour cette soirée inoubliable.
Tous étaient restés pour savourer le dernier verre de l’amitié, avant que « nos » chanteurs africains ne repartent vers la suite de leur parcours estival ( dès dimanche, le Festival de Jazz de Vienne en compagnie de La Machine Infernale, avec Alfred aux percussions ! ).